J’en perds mon latin, et ce n’est pas grave me direz-vous, c’est une langue morte.
Mais tout de même…
D’abord il y a Ménard, qui ne comprend pas les électeurs du Front national, il les approuve. Ce n’est pas fini, et n’en déplaise à la coupe, le clou doit être enfoncé jusqu’à la lie. Pour ceux qui pouvaient avoir encore un doute, le Front national a un programme, et Marine Le Pen une analyse. Et si tant est que ce soit vrai, il faut approuver leurs électeurs parce que les autres font des promesses qui ne sont tenues. On pensait la quadrature du cercle impossible, Ménard