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lundi 18 avril 2011

On peine en France... deux fois


La double peine, c’est être condamné deux fois pour les mêmes faits, à deux peines différentes. Et parfois même par deux juges différents. Sinon, ca ne serait pas totalement injuste. Et tant qu’à faire, ne frisons pas l’injustice, bouclons-la.


Et la boucler, précisément, c’est peut-être finalement parfois la meilleure solution pour être entendu. On se dit qu’ils vont quand même finir par vous demander votre avis. On caresse le doux rêve que les certitudes de nos « juges » vont finir par vaciller quand le silence deviendra trop assourdissant, trop gênant. C’est bien mal connaître l’espèce humaine. Juger puis punir, ou, paroxysme de la certitude, punir simplement par présomption de culpabilité. Ce sont peut-être là les choses les plus communément partagées.

Mais on digresse, on philosophe, et faut pas déconner, il y a des verres à servir au Bistrot. Alors où

mardi 5 avril 2011

lever un voile de pudeur...


Un moment d’égarement, une visite dans mon cœur, une visite dans nos cœurs. Une pudeur qu’on va lever, une fois, juste une petite fois. Parce qu’il faut le dire, parce qu’il convient de le rappeler, parce qu’il est nécessaire de s’en souvenir. Parce que tout commence par là.

Le monde est à feu et à sang. Des coalitions attaquées ici, qui se sont associés là pour attaquer là bas, lui même associé dans une autre coalition pour la paix dans une autre contrée, qui combat avec les premiers pour libérer ici.

Bref, on ne sait plus qui sont les gentils et qui sont les méchants. Les repentis

vendredi 1 avril 2011

La France expliquée...par sondage


Plus de la moitié des Français considèrent que le Front national est un parti politique… comme les autres. Au sens purement juridique, c’est évidement vrai. Au sens idéologique, c’est plutôt inquiétant.

La question à se poser, et que je n’ai pas beaucoup ni lu, ni entendu dans les débats qui s’en sont suivis, la première question, comme une sorte de préalable, est de savoir si ce sont les partis « traditionnels » qui ont glissé vers l’extrême droite, ou si c’est le Front national, qui, grâce ou à cause de sa nouvelle présidence, a adouci son image.

Il est de bon ton de considérer que Monsieur Sarkozy est à l’origine de cette banalisation, en banalisant lui même certains sujets, certains débats. D’autres vont même plus loin et