Mes chers ami(e)s journalistes,
Nous vous sommes très reconnaissants d’avoir couvert la révolution
tunisienne et d’avoir ainsi aidé un peuple à se libérer du joug de son despote grâce
à la pression qu’à représenté votre action. Couverture certes un peu tardive,
mais qui pourrait vous le reprocher, quand une partie du peuple tunisien
lui-même n’a réalisé que tardivement ce qui était en train de se produire.
Or, en ce moment la Tunisie traverse une crise politique majeure qui la