La
Tunisie votait le 26 octobre 2014 pour élire ses députés. Les tunisiens étaient
appelés aux urnes. Ennahda, le parti
islamiste, est favoris nous disait-on. Parce qu’après la dictature, les arabes
ne pouvaient que verser dans un islam radical. Parce qu’un musulman, n’est autre
qu’un djihadiste en puissance dés lors qu’il peut s’exprimer. Même par les
urnes.
Cette
révolution n’a servi à rien, ces peuples ne sont pas fait pour la liberté, car
si un dictateur ne les contraint pas, il n’y a que l’intégrisme qui peut les
conduire. Soit la force du despote, soit
la folie des hommes parlant pour Dieu.
Condamner
jusqu’à la nuit des temps, nous n’avions pas d’autres alternatives que de vivre
sous le joug d’un despote fut-il éclairé, ou sous la terreur des illuminés
fussent-ils obscurantistes, les deux n’étant pas incompatibles.
Le
salut s’il existe, est forcément laïc. Les choses sont binaires, ceux qui